de l’univers où le simple fait d’exister est un véritable bonheur », d’après l’écrivain Blaise Cendrars.
C’est là que nous sommes ! Rares sont les villes du monde qui rassemblent autant de clichés et d’images célèbres. Nous nous en rendons compte en découvrant « pour de vrai » ce qui est pour nous des images d’Epinal.
Ceux qui suivent notre parcours de près ont compris où nous étions. Les autres vont pouvoir tester leurs connaissances au fur et à mesure de l’article. J’innove avec un texte à trous, que je compléterai plus tard (disons vers le 10 avril, mots en rouge) avec les bonne réponses. Vous allez voir, c’est très facile.
Dans cette ville d’Amérique du sud, nous logeons dans une pousada, petit hôtel familial, très propre, très accueillant et avec une chambre minuscule. Bruna, la propriétaire, nous parle pendant de longues minutes, en portugais. A-t-elle compris que pour nous c’est (presque) comme du chinois ?
Dans cette ville, il y a donc une statue de 700 tonnes et de 30 mètres de haut, qui contemple la ville depuis le sommet d’une colline pointue, le Corcovado. Nous la découvrons dans la brume, puis nous nous en approchons.
Voici le Cristo Redentor.
Cette ville, c’est la jungle de végétation et de béton, c’est les montagnes dans les baies. Les points de vue sont nombreux. Ils permettent d’embrasser des panoramas époustouflants. Encore faut-il que le ciel soit dégagé. Et là, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ici, il ne fait pas toujours beau.
En noir et blanc, voilà une photo du « Pao de Açucar » (en portugais svp) dressé derrières la baie de Botafogo.
Toujours en noir et blanc, une vue sur un grand stade de plus de 100 000 places, du nom du quartier, Maracana.
Sur les flancs de chaque morros, s’accroche les constructions urbaines précaires des plus déshérités, les favelas.
Entre deux visites, nous goûtons à la boisson locale : rhum blanc (cachaça), glace pilée, citron vert et sucre de canne. Rafraîchissante, cette Caïpirinha !
Dans cette ville, les églises baroques sont nombreuses. Voici l’intérieur, de l’Igreja Sao Francisco, couvert d’or du sol au plafond. Ils aiment l’or dans ce pays !
Au moins deux plages mythiques bordent les quartiers sud de la ville, Copacabana et Ipanema.
Sur ces plages, on y pratique des sports de ballons ronds, avec les pieds ou les mains, mais surtout avec les pieds.
Sur ces plages, la mode est aux strings et aux corps musclés. Quelques beaux portraits de Cariocas (les habitants de la ville).
Dans cette ville, on peut acheter des tongs Havaïanas (ailleurs aussi cela dit). Là c’est vraiment facile …
Nous restons seulement quatre jours, nous sommes loin d’avoir tout vérifié. Entre autres, il nous manque une musique la bossa-nova. une danse la samba, une danse-combat, la capoeira. Pour cela , il faudra peut-être qu’on revienne en période de carnaval.
La ville est aussi célébrée en chanson ! Finissons en musique avec le clip d’une très belle chanson écrite tout près de là où nous nous trouvons :
Fred
PS : 18,35 euros, c’est la fortune de Cléo en billets des monnaies du monde. Bravo à Maï qui presque trouvé le compte exact il y a quelques minutes ! Je pense que ça vaut bien une liasse de faux euros.
Olà olà, fausse alerte, les tongs ont réapparues. Je les avais déjà rangées 😉
Au fait, on a défait tous les cartons et Bertrand a perdu ses tongs dans le déménagement! Il chausse du 44 🙂
Bom dia!!! On voulait vous montrer un nouveau tube qui fait fureur à mon école
Une de mes copines a fait une boom récemment,et,et elle l’a mise tout le temps!!!
On pense à vous!
Bises,Milla
Salut Milla,
Moi aussi j’adore cette chanson que j’ai découverte début mars en arrivant au Chili. Depuis, on l’a entendue en Argentine, mais curieusement très peu au Brésil, pays d’origine du chanteur.
Vivement cet été qu’on dans sur cet air pour ton anniversaire !
Bises à toute la famille, Isa
Très inhabituelle cette photo du « Christ Rédempteur » dans le brouillard, donc pas de beau temps à Rio, ce jour là. Dommage car je pense que la vue du Corcovado surplombant Rio doit être à couper le souffle.
Amusant ce texte à trous. J’ai presque tout trouvé les mots manquants, même l’auteur de la phrase (grâce à Internet) mais pas celui de la boisson rafraichissante (à boire avec modération).
Belles photos des « cariocas callypiges » mais pas de seins nus ? Est-ce interdit ?
Comme toujours beaucoup de plaisir à vous lire.
Bisous à vous 5.
Effectivement, autant la taille du bas du maillot est parfois réduite à quelques cm2, autant cela ne se fait pas du tout de faire du monokini, ceci étant assimilé à la tenue des esclaves par le passé. Bises, Isa
Allez, on retrousse les manches et on y va:
alors pour l’écrivain, je citerai « Bertrand Copigneaux », pour le logement, je dirai une « poêle », avec sa chambre minuscule (? bizarre ces brésiliens…), la colline pointue est peut-être le Colorado mais j’ai des doutes…
Le « Puero de Amigos », se dressant derrière la baie de « Beyrouth » est très chouette…
Le quartier du foot doit s’appeler « Marseille »…
Je ne sais pas si les églises « bleues » sont nombreuses, en tout cas, l’intérieur est très tape à l’oeil!
Les « Cagoles » des plages « Crabe de mer » et « Ile flottante » se la racontent un peu…Mais, Isa, le maillot vert et jaune te va à ravir, penses-y dès ton retour!
Fred, s’il te manque la « Bado-Negra », ne t’inquiète pas, j’ai le CD, par contre, soigne ton rhube au plus vite…
Sur ce… je vous laisse danser la « Samba » et la « Capoera », en vous embrassant très fort!
J’aime beaucoup le coup du « Bertrand Copigneaux » 🙂 !
Autre clip tout aussi sympa, un peu plus « dance », je dirais :
http://www.youtube.com/watch?v=R4GxUKYQ258 (et puis ça fait des points en plus car son titre contient une des réponses du texte à trous…)
Ah oui , je préfère à la berceuse de Garota de Ipanema ! ! !
Bises à vous 2 .
D I S C O
Trés bonne idée le texte à trous pour stimuler nos neurones, je ne suis pas arrivée à tout combler ( plage, hôtel,auteur…), par contre pour la ( bonne )musique : pas de problèmes pour les anciens que nous sommes…
Même les tongs H… ne sont pas connues en Drôme.
L’article de Cléo sur les différents billets de tous ( ou presque ) des pays traversés était trés intéressant, on s’y perd avec tous ces différents dollars vrais et faux.
Pour ce qui est de la boisson locale ( qui ressemble au ti-punch antillais) , Fred semble nettement la préférer au café , mais peut- être n’était-ce pas au petit -déjeûner ? (Le café étant un produit local aussi, il me semble ?). Bisous à tous.
Contente d’avoir « gagné »… (sans gros effort toutefois, avec Internet… et Excel…) mais je n’attends pas de cadeau surtout que 😉 :
Extrait du code pénal : CHAPITRE II : De la fausse monnaie
Article 442-1
[…] La contrefaçon ou la falsification des pièces de monnaie ou des billets de banque ayant cours légal en France ou émis par les institutions étrangères ou internationales habilitées à cette fin est punie de trente ans de réclusion criminelle et de 450.000 euros d’amende.
J’ai deviné quelques mots cachés. Je trouverais probablement les autres sur Internet mais bon…, j’attendrai tranquillement les réponses…
La photo des favelas qui surplombent l’autoroute est impressionnante… Bonjour ce que doivent respirer les pauvres bougres entassés dans leurs taudis !
Bonne continuation et Bises à tous !
On compte les points dans la rivalité entre les beaux-parents !!!! Huguette commence à se laisser distancer…
Pour le Christ Roi, je suis d’accord avec Huguette, vous auriez pu nous le mettre en pied ! Les « carioca callypiges », elles, sont très réussies.
Le texte à trous est une super trouvaille pédagogique.Vos reportages, texte et photos, sont de plus en plus originaux. Jusqu’où irez-vous ?
Bises de tous les deux. Anne-Marie
Entre 2 têtées nous découvons cet article qui nous rappelle notre excellent périple brésilien qui date de 2001, onze ans déjà.
Vous semblez bien dans votre pousada et la Baie de Boa Vista (on tente cà sans vérif sur internet) . Très belle série de Carioca callypiges aux seins refaits et aux corps bodybuildés. Les photos en noir et blanc sont magnifiques (bonne idée …)
On vous conseille les petits resto « al kilo » , qui raviront des routards comme vous: tu payes au poids ce que tu manges !
Bises de nous 4
Seb (sur le compte de Ludi 🙂
C’est tout ce que vous avez comme photo du Christ-Roi en pied ?Je sais bien qu’on approche du vendredi saint , mais comme image d’Epinal , il y a mieux .Je suis très déçue !Par contre la galerie de silhouettes dénudées , elle , n’est pas ratée …Pour la fortune de Cléo ,
j’avais presque bon pour les centimes .
Les tongs H ne seraient-elles pas à moi ? Je suppose que la cousine Steph de la Provence va connaître toutes les bonnes réponses .
Biese à vous 5.
Huguette.
Dans quelques minutes, vous aurez de beaux clichés qui devraient vous plaire, puisque l’album Brésil est en cours de mise en ligne. Patience…
Bises, Isa
Bonsoir Les Cariocas !
Sympa votre jeu des mots manquants mais bon pour un vétéran footballeur toujours en activité c’est facile de ce côté là.A part le nom de la villa hôtel et de la baie, je pense que j’ai le reste aussi.D’ailleurs la Capoeira se pratique ici dans le Vaucluse, alors !! 🙂 Il y a bien longtemps que nous n’avons pas fait de commentaires ni de visites sur votre blog car nous avons la tête dans le guidon.Merci pour votre voyage c’est super.
Laurent / Famille Callens
Ben non c’est pas facile du tout de boucher les trous, surtout au début du texte ! Comme ma tatie Véra, aucune idée de l’auteur, du petit hôtel ou de la baie… mais effectivement après ça, c’est plus simple. Aurez-vous la possibilité de vous rendre dans les favellas ?
Bises
Salut Alex, non, pas de visite dans les favellas. La misère est déjà assez visible comme ça dans les rues de Rio où nous n’avons passé que quelques jours d’ailleurs.
Bises, Isa
salut. G pas tout trouvé des mots manquants de votre ballade a Rio mais ube bonne partie quand meme? Auteur de la phrase pas trouvé, ni le nom des petits hotels et non plus la baie . Le reste c tout bon
Bravo a tous et surtout aux filles pour les articles, c fameux.
Est ce que vos cheveux continuent a pousser les filles ??? Biz a tous
Salut Vera,
On pense à toi chaque fois qu’on passe devant un magasin de perruques (nombreux par ici) ! Mais rassure-toi, nous n’avons pas touché les cheveux des filles depuis le Vietnam avec Marlène. Seul Fred teste réguliérement les techniques des coiffeurs locaux… En revanche, plus le temps passe, plus je pense que la première chose que je ferai en rentrant sera d’aller me faire une coupe bien stylée, avec un soin, et un bon brushing ! Et ça sera pas du luxe…
Bises, Isa
Bonjour à toute la petite famille,
C’est le pays que j’attendais avec impatience (avec la Bolivie) !
Je suis curieuse de voir votre parcours et vos différentes escales.
Bonne continuation, continuez de nous faire voyager et rêver par procuration…
J’hésite entre 2 pays :
– la Russie pour les paysages,
– Mais la musique me rappelle aussi la Turquie.
Qu’il est c…
Jack (1er commentaire Huguette, pas eu le temps de réfléchir)