Archives quotidiennes : 2 avril 2012

Rio de Janeiro : « La seule grande ville …

de l’univers où le simple fait d’exister est un véritable bonheur », d’après l’écrivain Blaise Cendrars.

C’est là que nous sommes ! Rares sont les villes du monde qui rassemblent autant de clichés et d’images célèbres. Nous nous en rendons compte en découvrant  « pour de vrai » ce qui est pour nous des images d’Epinal.

Ceux qui suivent notre parcours de près ont compris où nous étions. Les autres vont pouvoir tester leurs connaissances au fur et à mesure de l’article. J’innove avec un texte à trous, que je compléterai plus tard (disons vers le 10 avril, mots en rouge) avec les bonne réponses. Vous allez voir, c’est très facile.

Dans cette ville d’Amérique du sud, nous logeons dans une pousada, petit hôtel familial, très propre, très accueillant et avec une chambre minuscule. Bruna, la propriétaire, nous parle pendant de longues minutes, en portugais. A-t-elle compris que pour nous c’est (presque) comme du chinois  ?

Dans cette ville, il y a donc une statue de 700 tonnes et de 30 mètres de haut, qui contemple la ville depuis le sommet d’une colline pointue, le Corcovado. Nous la découvrons dans la brume, puis nous nous en approchons.

Voici le Cristo Redentor.

Cette ville, c’est la jungle de végétation et de béton, c’est les montagnes dans les baies. Les points de vue sont nombreux. Ils permettent d’embrasser des panoramas époustouflants. Encore faut-il que le ciel soit dégagé. Et là, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ici, il ne fait pas toujours beau.

En noir et blanc, voilà une photo du « Pao de Açucar » (en portugais svp) dressé derrières la baie de Botafogo.

Toujours en noir et blanc, une vue sur un grand stade de plus de 100 000 places, du nom du quartier, Maracana.

Sur les flancs de chaque morros, s’accroche les constructions urbaines précaires des plus déshérités, les favelas.

Entre deux visites, nous goûtons à la boisson locale : rhum blanc (cachaça), glace pilée, citron vert et sucre de canne. Rafraîchissante, cette Caïpirinha !

Dans cette ville, les églises baroques sont nombreuses. Voici l’intérieur, de l’Igreja Sao Francisco, couvert d’or du sol au plafond. Ils aiment l’or dans ce pays !

Au moins deux plages mythiques bordent les quartiers sud de la ville, Copacabana et Ipanema.

Sur ces plages, on y pratique des sports de ballons ronds, avec les pieds ou les mains, mais surtout avec les pieds.

Sur ces plages, la mode est aux strings et aux corps musclés. Quelques beaux portraits de Cariocas (les habitants de la ville).

Dans cette ville, on peut acheter des tongs Havaïanas (ailleurs aussi cela dit). Là c’est vraiment facile …

Nous restons seulement quatre jours, nous sommes loin d’avoir tout vérifié. Entre autres, il nous manque  une musique la bossa-nova. une danse la samba, une danse-combat, la capoeira. Pour cela , il faudra peut-être qu’on revienne en période de carnaval.

La ville est aussi célébrée en chanson ! Finissons en musique avec le clip d’une très belle chanson écrite tout près de là où nous nous trouvons :

Fred

PS : 18,35 euros, c’est la fortune de Cléo en billets des monnaies du monde. Bravo à Maï qui presque trouvé le compte exact il y a quelques minutes ! Je pense que ça vaut bien une liasse de faux euros.